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Il y a parfois des images et des textes qui vous touchent particulièrement. C’est le cas avec ce portefolio !

(Les Peintures série 2019)

- Jean-Jacques Naudet - L'oeil de la Photographie Magazine

Le travail d’AnnMarie Tornabene ne laisse pas indifférent ! De plus, il est assez inclassable. L’artiste nous emmène dans un univers onirique où, telle Narcisse s’amusant de sa propre image, elle nous dévoile les différentes facettes de son moi.
Son visage est souvent remplacé par celui d’un animal... Or, on sent bien – derrière le symbole – qu’elle laisse émerger ainsi sa part d’animalité. Cet artifice permet la synthèse avec un monde très ancien, caché au plus profond de nous, que nous cherchons à occulter et qui dirige toujours nos sentiments les plus intimes. Un monde mystérieux que les dieux ont essayé – vainement – d’engloutir sous le Déluge. Car la force vitale de ce royaume déchu hante depuis toujours l’humanité...

AnnMarie Tornabene a eu le courage de nous entrouvrir un peu le mystère profond de son âme. Dans ses « Allégories » les photos deviennent tableaux, les tableaux prennent vie et... la vie s’y exprime dans la photo. C’est bien de surréalité dont nous parlons. (Allegorie série 2017-2018)

- Phillipe Litzler - OpenEye Magazine

(Traduit de l'italien).
L'œuvre d'AnnMarie Tornabene est cohérente. Les thèmes et les sujets sont tissés ensemble dans le même thème et ne dévient pas de la tâche de raconter un univers de rêve ou de décrire les termes d'un monde ésotérique que, pour autant que nous puissions nous le dire, nous sommes absorbés dans la porosité de notre formation ; et tout cela est maintenu ensemble par la présence silencieuse d'un médium que nous connaissons à travers l'histoire de l'art : les anges.

Le voyage autour du thème de la mort est complété par chaque interprète, et nous n'avons qu'à consolider certaines conclusions, bien qu'AnnMarie Tornabene partage l'éphémère de toute tentative d'"explication" de la mort. Mais son effort est plus que louable, son travail est entouré d'une poétique douloureuse et délicate comme ses images qui évoquent des suggestions des profondeurs. Rien n'est négligé, la forme et le fond dialoguent avec la recherche du sens, un sens qui plaît aux yeux mais ne néglige pas la pensée.

- Giuseppe Cicozzetti - Scriptphotography

AnnMarie a toujours été l'une des gagnantes préférées des concours et expositions de la B J Spoke Gallery. Son travail était très original et bien produit. Nous avons également apprécié le fait qu'elle ait très tôt défendu l'idée d'aimer l'image de soi et de soutenir les femmes dans cette voie. Son œuvre est inoubliable.
Merci - A-M T

- Marilyn Levy - directrice de la galerie B.J. Spoke Gallery, New York

 

J'ai d'abord été choquée, puis intriguée par les autoportraits révélateurs d'AnnMarie Tornabene, qui montrent tous l'artiste nue en plein air. Mais il ne s'agit pas de nus ordinaires, car le corps de Mme Tornabene est si ample qu'assise dans l'eau ou allongée dans la nature, elle ressemble à une douce sculpture.

Une déclaration figurant dans la brochure de l'exposition donne quelques indices sur sa façon de penser. Elle explique que ces images répondent à des problèmes qu'elle a rencontrés dans sa vie : des abus liés à son obésité, des problèmes sexuels et relationnels, et des inquiétudes quant à l'image qu'elle a d'elle-même dans une société qui récompense et célèbre un type de corps, à l'exclusion et au mépris des autres. Elle nous demande courageusement de regarder, et de regarder encore, pour trouver la beauté dans sa taille. Et elle y parvient.

- Benjamin Genocchio - NY Times

 

Regarder une photographie d'AnnMarie Tornabene revient à étudier un chapitre de l'histoire de l'art. On perçoit immédiatement le pedigree de vieux maîtres qui se cache derrière nombre de ses images. Qu'est-ce qui distingue les photographies d'AnnMarie de ses sources historiques ? La première et la plus évidente est le médium lui-même, la photographie, une forme d'art tout à fait moderne, mais il ne s'agit pas de simplifier à l'extrême. L'esthétique de Tornabene est tout sauf moderne ; les photographies sont des prises de position contre l'art contemporain et l'art numérique, d'où leur riche filiation avec l'histoire de l'art.

- Dr. Stephen Lamia, PhD - directeur de la galerie, The Anthony Girodano Gallery, New York

 

Edward Weston a dit un jour d'un contemporain : "Il n'a pas besoin d'essayer d'être différent - il *est* différent". C'est ce que je vois dans son travail, contrairement à la plupart des autres - elle n'essaie pas d'être différente, elle essaie de dire quelque chose d'important pour elle et le résultat est que son travail *est* différent.

- Ron Hammond, photographe

 

AnnMarie Tornabene examine les spécificités de son propre visage et de sa propre forme en tant que terrain de conflit. Sa série d'autoportraits cherche à résoudre la confusion par la révélation, bien que l'hésitation et l'ambivalence soient évidentes dans ces images touchantes.

- Helen Harrison - NY Times

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